Lise Roussel
Dossier mis à jour — 03/03/2020

À bords perdus

À BORDS PERDUS, 2016

Vues d'atelier

Reflex, 2016
Aquarelle, acrylique et encre de Chine sur papier, épingles et bois, 123 x 168 cm

Tondo, 2015
Aquarelle, acrylique, encre de Chine et collages sur papier, 69,5 x 62,5 cm

Extrait du texte Passages, par Jean-Emmanuel Denave, 2015

Une figure célèbre de topologie, le ruban de Möbius, nous aidera peut-être à comprendre comment s'effectuent passage et mouvement dans les peintures de Lise Roussel. Ce fameux ruban ne possède qu'une seule face contrairement au ruban classique qui en présente deux.
Tout se passe ici sur une seule et même surface. Il n'y a rien à l'envers des papiers peints ou collés de Lise Roussel : nulle signification précise, nul affect déterminé, nulle représentation affirmée... Ou, pour être encore plus précis : dans le trajet du doigt sur le ruban de Möbius, comme celui du pinceau sur le papier, l'envers prolonge et se confond avec l'avers dans un continuum spatial, dans un basculement insensible, imperceptible.

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Vue de l'exposition À bords perdus, Galerie Françoise Besson, Lyon, 2016
Avec des sculptures de David Décamp et Mathieu Le Breton.
CMJ (Cyan Magenta Jaune), 2015
Acrylique, encre de Chine et collages sur papier, épingles, bois, 168 x 123 cm

CMJN 1 (Cyan Magenta Jaune Noir), 2015
Acrylique, aquarelle, encre de Chine et collages sur papier, 82,5 x 147 cm

Sans titre, 2016
Acrylique, encre de sérigraphie et collages sur papier, 109 x 79 cm

Sans titre, 2016
Acrylique, encre de sérigraphie et collages sur papier, 109 x 79 cm